Le Trident du Fou
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Guilde JcJ/JdR Culte de la Rive Noire
 
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 [Charte Background Trident II] Par les Ténèbres.

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Rälkezad

Rälkezad


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MessageSujet: [Charte Background Trident II] Par les Ténèbres.   [Charte Background Trident II] Par les Ténèbres. Icon_minitimeJeu 12 Aoû 2010, 15:17


La présente Charte constitue le côté "face" du background de guilde du Trident du Fou (le côté "pile" étant constitué par la Charte des Mers du Sud), qui a été validé en interne et par les joueurs de MortSure. Nous pouvons donc considérer son contenu comme finalisé.

Il est centré sur l'aspect "sombre" du navire et de certains de ses secrets ; destiné à opposer les corsaires à des forces mystérieuses et essentielles, cette partie du background est réservé en général aux intimes du Trident, amis comme ennemis.



CHARTE JDR DU TRIDENT DU FOU : PAR LES TENEBRES !



1) SUR LE TRIDENT DU FOU, NAVIRE MAUDIT.


Nombreux sont les vaisseaux de guerre à sillonner les Mers qui bordent le Royaume de l’Est.

Certains cèdent même aux impératifs de la logistique militaire et croisent entre les côtes du Norfendre, au Nord du continent, évitant les icebergs comme les créatures maléfiques qui évoluent dans ces eaux.

Mais peu de navires portent autant les marques du Mal que le Trident du Fou.

Le navire n’a plus de capitaine, à ce qu’il semble. L’équipage ne s’en vante pas dans les sombres tavernes des ports qu’ils affectionnent, et lorsqu’un imprudent leur parle de capitaines, leurs mines deviennent sombres.

Oh ! les corsaires ont des officiers, dont certains semblent fort bien pallier l’absence du Capitaine, mais personne ne semble savoir depuis quand le Trident du Fou vogue sans cap apparent ni capitaine, tel un vaisseau fantôme.

Les marins les plus avinés ont avancé bien des hypothèses, certaines grotesques, d’autres à faire dresser les cheveux sur la tête.

Mais certains s’accordent sur le fait que le navire est maudit, qu’il ne se serait pas toujours appelé le « Trident du Fou », et que la folie se serait abattue sur l’équipage à cause de leur capitaine, qui aurait entrepris une expédition insensée et condamnée par les dieux.

D’autres prétendent qu’une mutinerie eût lieu pour une horrible raison et que les seconds du navire ont depuis été punis en devenant les esclaves du vaisseau dont ils ont dépossédé leur Capitaine, qui reviendrait par les nuits les plus sombres ordonner un cap impossible à ses matelots mutins. Ces nuits-là, croiser le Trident du Fou rendrait aveugle ou ferait perdre la raison.

Quelle part de vérité se cache derrière ces propos d’ivrogne, nul ne le sait, ou plutôt, gageons que si, les seconds du Trident doivent le savoir. Mais personne n’a encore trouvé le courage de poser la question aux intéressés, ou du moins personne ne peut se vanter d’avoir obtenu une autre forme de réponse qu’un coup de poignard dans le ventre.



_ UN CAP IMPOSSIBLE !


Lorsque les corsaires du Trident du Fou ne sèment pas la mort ou la désolation auprès de leurs ennemis, au nom des lettres de marque obtenues des Nations Sin’Doreï, il arrive que le Trident du Fou disparaisse des semaines ou des mois durant des routes de navigation connues.

Où voguent les marins du Trident, nul ne le sait. Mais lorsqu’ils réapparaissent, c’est souvent au Nord, entre les passes de la Mer Boréale ou encore au Fjord Hurlant. Ils arborent des airs hagards ou farouches, les voiles du navire gelées et leur pont piqueté par les embruns de gel. Certains ont les cheveux blanchis par le sel et un froid soleil, comme s’ils avaient navigué des années durant sans faire escale ni réparer.


_ CORSAIRES !


Il se dit parfois que les marins du Trident du Fou ont vendu leurs âmes aux démons, raison pour laquelle ils ont choisi depuis de vendre leurs services aux plus offrants et se sont engagés en tant que corsaires auprès des Nations de la Horde.

Cela n’explique sans doute pas pourquoi les corsaires sont vus parfois loin dans les terres d’Azeroth et loin de tout port. On dit que les corsaires, lorsque leurs coffres sont suffisamment pleins, repartent en course pour leur vrai Maître, quel qu’il soit.

S’il n’est pas leur Capitaine et s’il n’est pas un Démon, il n’en reste pas moins inconnu. Même lorsque de toute évidence ils n’agissent en vertu d’aucune lettre de course, les marins du Trident du Fou se prétendent en course.

A tel point que dans certains ports et certains milieux, on dit désormais « faire une course du Trident » pour désigner une course sans commanditaire avouable.

Ceux qui sont un peu mieux informés, que ce soit parmi les officiers de la Horde ou parmi leurs ennemis intimes savent que les marins du Trident du Fou prendraient nombre de leurs ordres d’un personnage surnommé le Fou.

Qui se cache derrière ce qualificatif ? Il semblerait que les corsaires eux-mêmes ne le sachent pas. Leurs rencontres avec le Fou seraient aussi espacées que codifiées, et seuls de rares marins parmi l’équipage seraient à même de rencontrer son émissaire, qui prendrait la forme d'un grand Worg ou d'un Loup.

A ce jour, seuls Terdein et Arnis, deux seconds du navire, auraient été en contact avec ce Loup. Et Terdein a disparu depuis, comme si fréquenter l'émissaire du Fou portait malheur.



2) SUR LES RELATIONS ENTRE LE TRIDENT DU FOU ET LES ÂMES MAUDITES DES PINS ARGENTES.


Pour quelles sinistres raisons les corsaires du Trident arpentent-ils les sombres Forêts des Pins Argentés ?

Là encore, nul ne le sait, bien que leurs membres d’équipage soient régulièrement aperçus dans ces contrées. Un paysan de Bois-du-Bûcher a longtemps prétendu avoir observé plusieurs nuits d’affilée des feux de bivouac sur les plages désertes au Défilé du Nord ou au creux de la Côte Nord.
Les loups qui hantent les nuits de ce pays l’auraient forcé chaque fois à courir se réfugier chez lui tout tremblant. Depuis il s’est avéré que ce témoin douteux était un lycanthrope, qui a donc été brûlé vif. Mais il a de son vivant toujours soutenu que des marins démoniaques arborant trident, à moitié loups l’auraient mordu dans sa course pour rentrer au village.

Dans les camps de réfugiés humains qui se montent le long des murailles de Grisetête, il se raconte également que de sinistres marins, composés des races ennemies, un trident dessiné sur leurs habits, hanteraient avec les lycanthropes les bois certaines nuits, se livrant avec les bêtes à de folles courses. Ces nuits-là, les loups et les moitié humains seraient encore plus agités qu’à l’accoutumée et les veilleurs triplés aux alentours des camps.

Nombreux sont ceux qui ont formé dans leur esprit la conviction que les marins du Trident, comme ils sont appelés là-bas sont des lycanthropes qui auraient pris un vaisseau du Royaume de Gilnéas afin d’empêcher les réfugiés de quitter les Pins Argentés.

Les Nécrogardes du Sépulcre quant à eux leur ouvrent volontiers leurs portes, car nombre des marins du Trident du Fou sont des Réprouvés qui se sont battus pour Fossoyeuse un jour ou un autre. Ils se moquent bien de la réputation que se sont forgés les corsaires auprès des pathétiques humains de ces contrées.



3) SUR LES AFFRONTEMENTS ENTRE LE TRIDENT DU FOU ET LES VAMPYRS.


_ LUNE D’ARGENT :


En tant qu’équipage corsaire lié à la Nation Sin’Doreï, le Trident du Fou entrepose ses prises de guerre dans les dépôts de Lune d’Argent, ou les places tenues par la Nation Sin’Doreï, en attendant le calcul du pourcentage retenu et le paiement des primes.

Or, les contrées reculées et les marches du Royaume, telles les rives du Lac Elrendar ou les terres d’An’owyn subissent régulièrement les déprédations de créatures arborant les couleurs de l’Alliance, mais qui font preuve d’une sauvagerie dérangeante.

Nombreux sont les Sin’Doreï qui ont perdu un proche dans des patrouilles sur ces terres.

Les corsaires ont accepté de servir de supplétifs à l’occasion, et se sont heurtés à des créatures de la nuit qui semblent vouer une haine particulièrement forte aux Sin’Doreï. Ils portent également les couleurs de l’Alliance. Il semblerait que ce soient des vampires, liés d’une façon ou d’une autre aux San’layns ou aux Nathrezims…

Par quel trouble jeu ceux-ci en sont venus à se battre pour l’Alliance, les corsaires ne le savent pas encore, mais ils commencent à réunir des informations sur ces redoutables ennemis.


_ LA FORET DES PINS ARGENTES :


La nuit de la disparition du second Terdein, le plus ancien officier du Trident du Fou, l’équipage corsaire était de sortie une fois de plus dans ce pays maudit. Le Troll amnésique guidait son équipage sur les traces du Loup, l’énigmatique messager du Fou.

C’est au Donjon de Fenris, l’un des hauts-lieux du Mal en ces régions que les corsaires s’introduisirent, afin de dérober des parchemins dans la bibliothèque de la forteresse tenue par les lycanthropes.

Mais cette nuit-là, les Vampires se sont une fois de plus abattus sur les corsaires, car il semble que ces créatures avaient elles aussi maintenu sous surveillance la sombre forteresse.

Après avoir battu en retraite, les corsaires ont retraversé le Lac de Lordamere par le Bac délabré, puis ont galopé à brides abattues vers Moulin de l’Ambre, le seul autre endroit où étaient conservées des copies partielles des documents entreposés dans la forteresse de Fenris.

Las, une fois encore les Vampires ont tenu en échec les corsaires, qui ne purent trouver le copiste de Dalaran qui se cachait dans cette localité.

Il s’ensuivit une course poursuite dans les bois, qui se finit non loin des remparts lugubres de l'Ancien Royaume de Gilnéas ; alors que les marins du Trident semblaient sur le point de périr face aux créatures de l'Alliance, ils réussirent à prendre la fuite, mais Terdein ne parvint pas à les suivre et n'a pas reparu depuis.

Qu'est-il advenu de lui ? A-t-il péri sous les lames et les crocs des créatures humanoïdes ? A-t-il de nouveau perdu la mémoire et erre-t-il dans ces bois maudits et hantés par les bêtes de la nuit d'Arugal ? Ou a-t-il dans sa fuite trouvé un moyen d'entrer dans le Royaume Interdit de Gilnéas ?

S'il faut en croire ce qu'Arnis, l'un des trois officiers en second en dit, Terdein serait bel et bien parvenu à entrer dans le Royaume de Gilnéas, mais le druide n'a pas souhaité en dire plus pour l'instant, si ce n'est que Terdein y bénéficierait d'une protection, accordée à l'issue d'un pacte conclu avec l'une des forces qui règne dans ces lieux. Un pacte ou un tribut, qu'Arnis répugne encore à détailler.

Ces derniers temps, les rares hardis ou fous à s'être approchés des sinistres et infranchissables murailles rapportent que de terribles hurlements, semblables à ceux de loups mais à la fois plus glaçants retentissent au delà des terres fermées. Arnis a pour l'instant souhaité suspendre les recherches, se contentant d'indiquer qu'il était trop tôt, que l'heure n'était pas venue et qu'un signal serait donné.

Il semble depuis que le signal a été donné : Arnis a ordonné que le Trident navigue vers Gilnéas et les Pins Argentés. Une chose est certaine : l'équipage du Trident du Fou n'a que trop tardé à se mettre à la recherche de Terdein, le premier officier supérieur que le Trident a connu depuis la disparition du Capitaine.

Les recherches vont s'organiser et Arnis le druide semble lui aussi désormais entendre les consignes du Fou, ou à tout le moins celles du Loup qui l'annonce. La quête du Capitaine va pouvoir recommencer et cette fois, les corsaires aguerris sont prêts à en découdre avec les vampires.


_ ARUGAL :


Le Trident du Fou semble animé d’une volonté propre, au-delà de son engagement affiché en faveur des intérêts de la Horde.

Leur intérêt s’est également porté, de manière énigmatique sur Arugal et ses ultimes manifestations sur le monde d’Azeroth.

Nul ne sait pour quelle raison les corsaires se sont opposés aux vampires et se sont à plusieurs reprises interposés lorsque ceux-ci menaçaient certains lycanthropes, mais il apparaît évident que le Trident du Fou est lui aussi en quête d’Arugal.

Leurs intentions à son égard sont encore à éclaircir.



4) SUR LES POINTS DE CHUTE ADMIS.


• Le Sépulcre :

S’il est une garnison entre toutes que défendent les corsaires du Trident lorsqu’ils sont sur le Royaume de l’Est, c’est bien celle du Sépulcre, aux Pins Argentés ; le Grand Exécuteur Hadrec est habitué à recevoir les combattants du Trident au petit matin, après des combats dans les bois.

A plusieurs reprises les corsaires ont aidé les Réprouvés à repousser des attaques de lycanthropes.

Le fait que nombre des corsaires appartiennent à la Nation Réprouvée de Fossoyeuse n’est sans doute pas étranger au bon accueil reçu par les marins du Trident.

Il faut dire que les longues nuits à attendre le petit matin, lorsque les hurlements des meutes en chasse d’Ombreroc se rapprochent lentement du bastion, cela forge des souvenirs impérissables.


• Le Défilé du Nord, ou le creux de la côte Nord :

Le long de la grève se trouve une épave de navire. Certaines rumeurs veulent que par les nuits sans lune, l’épave redevienne un navire hanté par les marins qui le servaient ; une chose est sûre, les corsaires ont été vus parfois bivouaquant sur ces plages découvertes, à bonne distance de la lisière des bois où maraudent les lycanthropes.

Nul doute que cette habitude a pu entretenir et alimenter les rumeurs des villageois autour des manifestations surnaturelles dans ces lieux.


• Lune d’Argent :

En tant que Cité État qui a contracté avec le Trident une lettre de course, la magnifique cité des Sin’Doreï héberge en permanence quelques corsaires, qui traînent dans les rues ou sur les quais.

Ces marins d’astreinte, sans cesse en éveil et à l’affut d’un danger menaçant la cité, disposent d’un moyen secret pour prévenir le reste de l’équipage sur la nécessité de venir honorer leur engagement.

Tant leur réactivité est grande que la rumeur veut qu’un navire du Trident croise en permanence dans les eaux avoisinant Lune d’Argent. Cela semble toutefois improbable, puisque dans le même temps ils ont été aperçus dans des raids bien plus au Sud.

Il semblerait en fait que le Fou ait doté son équipage de moyens pour prendre rapidement un portail afin de pallier aux délais d’intervention autrement plus longs.

Il va sans dire que Dalaran, la Cité Neutre, a été pointée du doigt.

Il n’en demeure pas moins que lorsque les soudards de l’Alliance menacent de trop près la belle Cité Sin’Doreï, les corsaires entrent rapidement dans la bataille, et ce d’autant plus férocement qu’il s’avère que parfois les attaquants ne sont pas seulement constitués par la soldatesque habituelle. La sécurité est particulièrement prise au sérieux certaines nuits, lorsque les patrouilles des marches extérieures tardent à rentrer…



Fin de la Charte JdR du Trident du Fou : Par les Ténèbres !
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