La justice est une chose rare en azeroth mais quand elle s'applique elle est impitoyable ! [refusé]

Partie Rp :

Un Orc muni d'une longue cape recouvrant sa tête entre dans la taverne et ce pose , quelques gens un peu saoul viennent l'interpeller et lui demande de leur raconter une histoire . L'orc ne voulant pas d'ennui s'exécute :

- Je vais vous conter une histoire , l'histoire tragique d'un orc qui s'était installé avec sa famille dans la vallée d'alterac . Là-bas il minait durement le sol pour y trouver des gisements d'or et faire fortune car de ce temps là , la famine et la pauvreté faisaient rage et seul quelques fortunés et chanceux arrivaient à s'en sortir . Un matin il alla à la mine comme chaque matin mais ce jour là n'était pas comme les autres . Il entendit une brusque explosion suivit de fumée de l'autre coté de la colline et cette orc sentit des sueurs froides le long de son dos quand il comprit que l'endroit d'ou venait les flammes était sa chaumière .

Il courut le plus vite qu'il pu jusqu'à ce que son sang ce transforme en acide et que ses lèvres soit pleine de crevasses et même après sa il courut encore . Lorsqu'il arriva il trouva sa femme Naele et son unique fils Trug crucifié à l'un des mur de la chaumière qui avait prit feu . Il sentit couler dans ses veine comme une puissance , une fureur que lui même ne soupçonnait . Il vit un étendard planté sur le toit de sa chaumière , il le connaissait bien c'était celui du pavillon noir qui ravagé les terres des royaumes de l'Est en ce temps là .

Il prit sa pioche et l'empoigna fortement à deux mains et courut à la recherche d'un vengeance ayant le goût du meurtre dans la bouche il ce fît le promesse de ne jamais s'arrêter avant d'avoir tué jusqu'au dernier homme du Pavillon noir . Lorsqu'il les trouva ses yeux ce mirent à pétiller d'une sorte de démence , il sauta sur un cavalier le faisant tomber de son cheval et lui planta sa pioche en plein coeur , un second n'eut même pas le temps de donner l'alerte que la pioche lui arriva tout droit en pleine tête fendant son crâne . les hommes du pavillon noir durent ce mettre à quatre pour maintenir le pauvre Orc qui ne perdais pas espoir de vengeance .

Les hommes du pavillon noir l'emmenèrent en bateau dans les eaux froides de la toundra boréenne ou ils le jetèrent au fond des eaux glacés, pieds et poings liés . Pendant sa descente dans les eaux sombres au moment ou la pression commencer à broyer ses os , l'Orc lança un cri puissant d'ou le chef du bateau pu attendre "j'aurais ma vengeance dans cette vie ou dans une autre !"

Des années passèrent et l'Orc conservé par la glace fût ressuscité par un seigneur s'auto proclament le "roi Liche " . Ce roi lui appris le maniement des armes et des sombres pouvoir de l'ombre et du givre . Sous le contrôle de ce roi à qui l'Orc devait la vie ,il exécuta un certains nombres de missions . mais un jour le roi liche connut la défaite et son contrôle sur ses hommes déchus , ces " chevalier de la mort " comme les appellent créatures d'azeroth ne fût plus qu'inexistant .

C'est alors , à ce moment précis de son existence que l'Orc ce souvint de son premier but et de sa tâche envers laquelle il s'était peu à peu égaré .

Les hommes de la taverne était tous à l'écoute de cet Orc et l'un d'eux dit : Et cet Orc existe vraiment ?
C'est alors que l'Orc enleva sa capuche et que tout les hommes de la taverne remarquèrent la bleuté de tes yeux avec stupéfaction et anxiété .

La marque des guerriers déchus .

Non loin de là, sur une autre tablée, une autre paire d'yeux glacés regardait la scène. D'abord amusé par les réactions des marins et des ivrognes, puis attentif à l'histoire, il se redressa tout à fait comme l'un de ses frères d'Achérus se révélait.

"Chevalier et frère d'armes, que fais-tu ici ? Les tavernes des Mers du Sud n'accueillent que peu des nôtres ces derniers temps."


Les ivrognes se regardaient avec perplexité. Les choses prenaient un tour de plus en plus surprenant.


"Tu prétends arpenter un chemin de vengeance contre les écorcheurs de Pavillon Noir ? Sais-tu à quel vaisseau j'appartiens ? Au Trident du Fou ! Nul ne se bat avec plus de férocité contre ces pillards sans foi ni loi !

Si tu prétends monter sur notre pont, et si tu es accepté, alors je peux te promettre que tu approcheras au plus près de tes ennemis jurés ! Tu pourras ainsi assouvir ta colère.

Mais tout a un prix. Le Trident du Fou mène également d'autres combats, auxquels il te faudra également participer. Défendre nos alliés, quels qu'ils soient et quelque détour qu'il impliquera sur la route de ta vengeance.

Es-tu prêt à choisir ce chemin ?"

Un réprouvé somnolait dans un coin de la taverne, fatigué par une dure journée. Cependant il suivait avec attention la discussion entre l'orc et le Timonier.

L'Orc ce leva et de sa voix grave sortit les mots : * sans aucun problème j'aiderai mes alliés à détruire mes ennemis tant qu'ils m'aident à détruire les miens .*

-Ami déchu la mort nous sourit à tous , certain plus tôt que d'autre mais la vrai question et de savoir quoi lui répondre une fois face à face . Toi comme moi et comme le réprouvé assis à ton bord la mort ne nous fais plus peur car nous avons pu discuter avec elle mais les autres trembleront sous le coup de nos armes en priant pour ne pas faire face à la mort mais au fur et à mesure des bataille , ils priront pour que leur mort soit rapide et pour ne pas avoir à faire face à nous .

Naviguons ensemble mains dans la mains , alliés . Je veux faire partit des votre .

Après avoir salué Jujeur, Rälkezad se tourna vers les autres corsaires qui s'approchaient à leur tour.

En entrant dans la taverne, Woof alla chercher plusieurs pintes au comptoir, et s'assit à la table en compagnie de l'Orc. La discussion s'annonçait longue et passionante !

Woof scruta ensuite les coins de la taverne à la recherche d'autres corsaires plus expérimenté que lui pour interroger l'Orc.

L'orc observant que de plus en plus de matelots du Trident du Fou s'asseyaient à sa table , il prit une bonne pinte de rhum entre ses doigts glacés et dit :

- Je me dévoilerai à vous sans plus attendre si vous me le demandai et vous expliquerai mes motivations profondes qui me pousse à vouloir vous rejoindre et vous parlerai de deux ou trois choses à propos de moi .

Ami du trident du fou je me retire dans l'une des chambre de l'auberge et vous dit à demain matin .

* Dans un silence de mort l'orc ce retira dans sa chambre en écrasant les tesson de bière et esquivant les ivrognes évanouïent ayant trop bu pour fêter la victoire du jour passé . *

L'elfe de Sang ivrogne redressa la tête lorsque l'orc conta son histoire.
Et comme le disait si bien son grand-pere : "il faut profiter de l'instant présent", Kaldemar vola ni-vu ni-connu la chope du marin ivre qui écoutait le chevalier de la mort.
Une fois la chôpe vide, le Paladin titubant s'approcha de Jujeur et lui parla ...

* Debout dans un coin de la salle Sanivar bailla pour la quatrième fois ces quinze dernières minutes. *

Je trouve son histoire un peu grosse, pour moi cet orc se fout complètement de notre gueule !

Depuis quand le roi liche recrute des pauvres mineurs coincés sous la glace pour en faire des chevaliers de la mort ? si c'était le cas il serait mort depuis bien longtemps.

Et puis, je n'ai jamais vu d'orc capable de crier alors que la pression de l'eau lui broie les os !

* Les yeux de la réprouvée semblaient luire d'une lueur maléfique *

Bref... pour moi il nous roule en bateau et il est inutile de lui accorder plus d'attention...

* La réprouvée s'était avancée, ses mains décharnées s'étaient plantées sur la table et ses ongles semblaient s'enfoncer dans le bois *

Et tout ça sans compter le fait qu'il ose nous soumettre une condition, chose jamais vu dans l'histoire de notre équipage... Depuis quand nous offrons nos services à tous les postulants ?

* La démoniste dévisagea tour à tous les différents membres de l'équipage présents dans la salle *

Artifax était d'accord avec Sanivar :
Cet orc n'a pas appris les bonnes manières. S'il venait à monter à bord nous serions probablement obligés de dépoussièrer notre scie...

Il se trouve qu'Artifax était fatigué et ne voulait donc pas faire d'efforts supplémentaires.

L'orc n'a pas voulut prendre volontairement de haut l'équipage du trident du fou mais sentant la fatigue monter en lui il a preferé ce retirer dans sa chambre pour ce lever d'un bon pied " le pied marin ".

L'histoire est tout à fait véridique puisque vécu et cette Orc est trés trés vieux c'est également pour cela qu'il a oublié la politesse et les bonnes manières . Il a néanmoins pas oublié l'esprit d'équipe et l'entraide ainsi que l'humour mais pour ce qui est des bonnes manières il attend de l'équipage une petite remise à niveau en tout bien tout honneur .

*L'orc mit un genou au sol et et embrassa la main décharnée de Sanivar et l'embrassa *